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VOUS ETES TOUS DES ARTISTES.

Evasion ou appel de la liberté huile sur toile 42 x 34 cm

 

L’art comme attitude universelle : POUR ËTRE LIBRE ET CREATIF

Il est essentiel que chacun prenne conscience que, tout comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, nous sommes tous artistes, souvent sans en avoir conscience. Être artiste n’est pas réservé à une élite ou à ceux qui maîtrisent les disciplines dites « majeures » comme la peinture, la musique ou la danse. L’art est une attitude, une manière d’être au monde, et il peut s’exprimer à travers des voies infinies.

Une soupe de légumes préparée avec amour et créativité, une discussion équilibrée qui apporte du réconfort, un acte pédagogique inspirant, une réparation habile, ou même une performance sportive empreinte d’élégance et d’intention – tout cela peut être de l’art. L’art, dans son essence, est une manière d’insuffler de la beauté, de la sensibilité et du sens dans les gestes les plus ordinaires de la vie.

Ce qui compte, ce n’est pas le médium, mais l’attitude. Être artiste, c’est vivre avec créativité, attention et générosité. C’est refuser de limiter l’art à des catégories rigides ou à des institutions extérieures. C’est reconnaître que la créativité est une responsabilité personnelle, un flux que chacun peut accueillir et manifester dans son quotidien.

Être l’artiste de sa propre vie : une révolution intérieure

Être l’artiste de sa propre vie, c’est être attentif avec la totalité de notre être, en mobilisant toutes nos perceptions. C’est ressentir, laisser émerger des réponses et des conceptions, et, à partir de là, les incarner à travers nos savoir-faire. Cette capacité à ressentir et à créer est disponible chez chacun d’entre nous, sans exception. Elle ne dépend pas de talents exceptionnels, mais d’une attitude ouverte et réceptive envers le monde et soi-même (de petites choses suffisent à réenchanter notre petit monde).

Le jour où tous les êtres humains se réapproprieront ce processus intérieur, où chacun retrouvera cette capacité à collaborer avec le monde et avec les autres, une révolution ultime sera en marche. Une révolution sans limites, qui ne pourra jamais être enfermée ou asservie par des « petits hommes gris », ces figures rigides et mortes, symboles des structures sclérosées qui cherchent à contrôler et à étouffer la vie.

Cette révolution, portée par l’art comme attitude universelle, transcendante et vivante, ne sera pas une lutte extérieure, mais un mouvement intérieur collectif. Elle libérera l’humanité de ses carcans, non par la force ou la confrontation, mais par une prise de conscience radicale de son pouvoir créateur. À travers cette révolution intérieure, chaque individu contribuera à un monde où la liberté, la collaboration et la créativité sont les piliers d’une vie en harmonie avec l’univers.

Ne déléguez jamais à d’autres votre rôle d’artiste de la vie. L’art véritable ne se limite pas à produire des objets, il transforme le quotidien et, par ricochet, le monde qui nous entoure. C’est dans cet élan collectif et individuel que se trouve la clé d’un futur vibrant, vivant et inarrêtable.

 

CELEBRITE: NE VOUS FAITES PLUS AVOIR : Joshua Bell et son stradivarius dans le métro

CELEBRITE: NE VOUS FAITES PLUS AVOIR  Joshua Bell dans le Métro

 
NE VOUS FAITES PLUS AVOIR/ LE RAPPORT A LA CELEBRITE. : Joshua Bell dans le Métro
 
En 2007, le violoniste de renommée mondiale Joshua Bell a participé à une expérience sociale organisée par le Washington Post. Quelques jours après avoir joué à guichets fermés dans une salle de concert de Boston, où les billets se vendaient à plusieurs centaines de dollars, Bell s’est installé incognito dans une station de métro de Washington D.C., avec son Stradivarius d’une valeur de plusieurs millions de dollars, pour interpréter des pièces classiques parmi les plus complexes du répertoire.
 
 
Pendant environ 45 minutes, Bell a joué devant des milliers de passants. Très peu se sont arrêtés pour l’écouter, et il a récolté un peu plus de 32 dollars en pourboires. Parmi les rares personnes à avoir prêté attention, un enfant, fasciné, que sa mère a dû tirer pour continuer leur chemin. Cette expérience souligne de manière saisissante le rôle du contexte dans la perception de la valeur artistique : dans une salle prestigieuse, les mêmes œuvres sont perçues comme inestimables, tandis que dans un environnement ordinaire, elles peuvent passer totalement inaperçues.
 
 
Les Galeries et le Rôle de l’Artifice
 
Cette histoire résonne fortement avec le fonctionnement des galeries d’art réputées. Tout comme la salle de concert valorise l’artiste et magnifie son talent aux yeux du public, les galeries jouent un rôle crucial dans la construction d’un artifice narratif autour des œuvres qu’elles présentent. Leur réputation, leur emplacement prestigieux, et leur storytelling soigné créent une perception de légitimité et d’excellence qui influence profondément la manière dont le public reçoit et juge une œuvre.
 
À l’image de Joshua Bell dans le métro, une œuvre exposée dans une galerie de renom acquiert un statut qui dépasse souvent ses qualités intrinsèques. Le public, majoritairement non initié ou peu habitué à juger l’art par lui-même, s’appuie sur ces éléments extérieurs pour valider la valeur de ce qu’il contemple. Une œuvre vendue dans une galerie prestigieuse est immédiatement associée à une idée de sophistication et de distinction sociale. En revanche, hors de ce cadre, comme Bell dans le métro, l’art peut devenir presque invisible.
 
Le Jeu de l’Artifice
 
Ce jeu de l’artifice, où la valeur de l’œuvre est autant liée à son contexte qu’à son contenu, pose une question essentielle : l’art est-il perçu pour ce qu’il est ou pour ce qu’il représente socialement ? Tout comme les galeries racontent une histoire autour des œuvres pour séduire leurs clients, les passants du métro n’ont pas vu en Joshua Bell le virtuose mondialement acclamé, mais seulement un musicien parmi d’autres.
 
Cette réflexion nous invite à repenser notre rapport à l’art et à la célébrité, en questionnant l’influence des institutions et du storytelling sur notre capacité à juger par nous-mêmes. Car, en définitive, la valeur d’une œuvre, comme celle d’une performance, devrait résider avant tout dans son essence et dans l’expérience qu’elle procure au public des braves gens que nous sommes, indépendamment de l’artifice qui l’entoure.
sylvainloisant.org
 

Le peintre mordu par la vieille dame

C’était à Lignéville, un tout petit village près de Vittel. Ce soir-là, la lumière était douce, et j’avais décidé de m’entraîner à peindre de vieilles fermes pour préparer mes cours. J’arrive devant un portail magnifique, marqué par le temps, et je commence à dessiner, absorbé par les détails des vieilles planches et des ferrures rouillées.

Mais rapidement, une présence se fait sentir. Une tête apparaît à la fenêtre de la maison derrière le portail. Je l’aperçois du coin de l’œil, mais je n’y prête pas attention. Puis la tête réapparaît, encore et encore, avec insistance. Intrigué, je jette un coup d’œil et découvre une vieille dame au regard courroucé, les sourcils froncés, semblant lancer des flèches invisibles dans ma direction.

Je continue de peindre, un peu amusé, sans comprendre ce que j’ai pu faire de travers. La dame sort de la maison, regarde à nouveau, rentre, puis ressort, toujours en m’observant d’un air méfiant. Finalement, d’un pas ferme et décidé, elle s’avance vers moi.

« Qu’est-ce que vous faites ? » demande-t-elle à l’intrus que je suis.

Je lève la tête calmement et lui réponds :

« Je peins votre porte, je la trouve très belle. »

Et là, sans crier gare, elle réplique avec un mépris rageur :

« Vous ne pouvez pas faire un vrai travail ? »

Je reste un instant figé, puis un sourire me monte aux lèvres. La scène était si absurde et cocasse qu’elle est restée gravée en moi, un souvenir vivant de cette rencontre improbable où la beauté simple d’un portail a suscité bien plus de curiosité — et d’hostilité — que je ne l’aurais imaginé.

 

 

L’histoire de l’art est-elle un mensonge accepté par tous?

 

L’histoire de l’art et le regard critique : un appel à la liberté

Les musées regorgent de trésors, mais aussi d’erreurs et d’imperfections. C’est la conclusion à laquelle je suis arrivé après cette expérience marquante à Niort, où j’ai découvert que même un tableau considéré comme un chef-d’œuvre pouvait contenir de flagrantes erreurs. Ce constat ne s’est pas arrêté là. En explorant plus profondément l’histoire de l’art, j’ai réalisé que de nombreux tableaux, sculptures et œuvres sont hyper valorisées non pas pour leurs qualités réelles, mais par le biais d’une narration historique répétée de manière mécanique et souvent servile.

Le poids des mensonges répétés

Il est essentiel de comprendre que beaucoup d’éléments de l’histoire de l’art reposent sur des mensonges répétés. Ce n’est pas parce qu’une œuvre est exposée depuis 400 ans dans un musée qu’elle est forcément excellente. Tout comme un mensonge répété mille fois ne devient jamais une vérité, une œuvre encensée à travers les âges ne mérite pas nécessairement ce statut. Garder son esprit critique face à ces injonctions est fondamental pour distinguer les véritables perles des œuvres banalisées par un consensus aveugle.

Une attitude subversive pour une liberté artistique

Je sais que mon propos est subversif, presque anarchiste, mais il me semble crucial. Je n’incite pas à rejeter le passé avec méchanceté : au contraire, le passé est un formidable guide lorsqu’il est maîtrisé avec discernement. Ce que je dénonce, ce sont les vieilles conventions qui ont enfermé notre culture dans des récits figés. Trop de vieilles barbes ont maintenu ces récits poussiéreux, ignorant la nécessité de questionner, de trier et de réévaluer ce que l’on nous présente comme indiscutable.

Distinguer les pépites des scories

L’histoire de l’art regorge de pépites extraordinaires, mais elles sont souvent entourées de scories. Le rôle de chaque artiste ou amateur d’art est de faire le tri. Cette démarche critique ne détruit pas la tradition, elle la libère. Apprenez à observer par vous-même, à remettre en question, à ne pas croire aveuglément ce qu’on vous impose. C’est ainsi que l’on devient libre et autonome, capable de s’approprier le meilleur du passé sans en être prisonnier.

> « Gardez toujours votre bon sens et votre équilibre. N’acceptez aucune vérité imposée sans l’avoir passée au crible de votre propre regard. » C’est là que réside la véritable liberté de création et d’interprétation artistique.

 

L’ingénieur et l’artiste en nous

L’ingénieur et l’artiste

C’était il y a une vingtaine d’années. Un jour, un monsieur est venu assister à mes cours. Il était ingénieur mathématicien et avait décidé de peindre une nature morte de manière classique.

Je lui ai fourni le matériel nécessaire et lui ai expliqué les étapes du processus. Il a choisi de travailler à partir d’une photo et s’est lancé avec une rigueur impressionnante. Utilisant ses compétences en mathématiques, sa maîtrise de la géométrie et sa logique interne, il a appliqué chaque étape méthodiquement.

Le résultat m’a surpris : son travail était techniquement presque parfait. Mais cette perfection apparente m’a poussé à réfléchir profondément à la nature de l’art. Derrière l’impeccabilité technique de son œuvre se cachait, malgré tout, un problème. Ce que j’ai compris ce jour-là, c’est que les qualités évidentes peuvent parfois dissimuler des failles. Son travail n’était qu’une procédure et manquait d’une dimension essentielle : l’expression personnelle, l’imprévisible, ce souffle vital qui transcende la simple technique.

À l’inverse, il arrive que certains élèves, dont les travaux semblent remplis de défauts à première vue, portent en eux de très grandes qualités artistiques en devenir : de la spontanéité, une vision unique, ou une sensibilité authentique.

Ce paradoxe est au cœur de l’enseignement de l’art : comprendre que la technique est une base absolument nécessaire, mais que l’âme et l’intuition sont les véritables moteurs de la création.

Nous devons absolument maintenir un équilibre entre « l’ingénieur » et « l’artiste » qui sommeillent en nous

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-Vous stagnez en dessin, peinture pastel! : 4 ERREURS A EVITER

LES 4 ERREURS

Ressentez vous parfois que vous stagnez dans votre pratique des arts plastiques?

Que vos rêves de réaliser des tableaux créatifs s’éloignent?

Que vos objectifs de peintres vous semblent inatteignable?

(J’ai souvent observé ces blocages dans les parcours de mes élèves et dans le mien)

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Pourtant de manière urgente, vous voulez accomplir quelque chose d’intéressant avec votre passion. Pour vous même et si possible pour les autres, vos proches et un public pourquoi pas?.

C’est tout à fait possible 

Mais ne commettez pas 

 4 erreurs:

 

1- « Les yeux plus gros que le ventre »

 Vous voulez peindre comme Léonard et vous n’avez que 2 heures par semaine à consacrer à la peinture. C’est  tout simplement impossible.

Cette erreur est pourtant courrante, car beaucoup de peintres veulent fonctionner différemment et ne veulent pas appliquer un mode de vie contraignant dans ce jardin secret de la peinture qu’ils veulent le plus libre et créatif possible.

Trés souvent, ces personnes jettent le bébé avec l’eau du bain » en refusant même des règles de bon sens techniques et nécessaires. 

Beaucoup de peintres ne veulent pas s’encombrer de « stratégie », d’organisation et perdent à cause de cela un temps infini.

Souvent, perdus dans un no man’s land ceux ci préférent opérer une fuite en avant vers d’innombrables expériences (aquarelle plus pastel, plus huile acrylique etc…..) c’est irrationnel et très fréquent.

. Même si on peut le comprendre, cela amène inévitablement à des situations de blocage.

Curieusement, c’est la stratégie d’apprentissage, de préparation des études et des oeuvres, l’évaluation des difficultés et la mise en place d’un fil conducteur avec des étapes qui donne rapidement la liberté créative. Par  expérience,  j’ai compris dans la douleur que c’est indispensable.

Pour progresser, il faut absolument répondre à la question suivante:

-Quel est votre vrai projet artistique? 

-De quels atous disposez vous (copétences déjà développées

– Quelles techniques devez vous absolument travailler pour atteindre votre objectif. Lesquelles devez vous mettre en attente (car moins urgentes)?

– Avez vous hierarchisé ce qui est essentiel de ce qui est secondaire?, ce qui est urgent de ce qui l’est peu?

– Avez vous réfléchi à l’ordre dans lequel vous pouvez réaliser vos tableaux?

Je prépare une vidéo gratuite d’une heure et très détaillée sur ce thème que j’appelle « la carte postale » c’est à dire le plan , le contenu, et la chronologie. Je l’enverrai la semaine prochaine si ma santé le permet.

2 « Vous écoutez trop votre entourage »

Votre entourage même amical est rarement de bon conseil. 

Lorsque vous peignez vous êtes dans une bifurcation par rapport à des routines dans lesquelles vous êtes identifié par votre entourage qui veut absolument vous « cerner, vous identifier, voire vous contrôler ».

Certaines personnes voudront vous soutenir de manière émotionnelle, ils s’identifieront à vos succès, ils pleureront sur vos difficultés, ils interviendront dans vos réflexions et décisions même si vous ne leur demandez rien. C’est très perturbant

Trop souvent le piège est la complaisance extrème: « c’est merveilleux ce que tu peins! »….Stagnation

Certains seront jaloux consciemment ou inconsciemment et auront des attitudes qui pourraient être même porteuses d’intensions malsaines et perturbatrices…..Gaspillage de votre énergie émotionnelle si utile pour la peinture

Conseil:

-relativisez ces attitudes avec bienveillance et ne les laissez pas vous influencer. Ce serait une catastrophe.

– Cherchez des peintres confirmés en vrai, sur youtube, dans les forum, les groupes pour constituer une communauté technique, passionnée hors du temps et de l’espace. 

-Surtout cherchez en vous même la réponse LOL

3 « Vous avez des croyance limitatives sur votre projet de peinture »

Vous avez de mauvaises informations sur ce qui peut  vous être réellement utile.

Il traîne une quantité impressionnante de petits aphorismes stériles sur les techniques artistiques, les modes de comportements, sur ce qu’il faut ou ne faut pas faire quand on entre dans le monde de la peinture…..

Confusion, perte de temps, voies de garages…..

Ex: quand j’apprenais à peindre en étant gamin (1962 à 1970) on m’avais dit:  » utilise le blanc de zinc » (catastrophe pour moi car transparent), on m’avait dit « il faut toujours trois taches rouges dans un tableau »??????? « Tu pourras peindre  quand tu aura un diplome des beaux arts s’il vous plait ». Etc je pourrais citer des dizaines de croyances stupides qui m’ont beaucoup retardé. Pardon de parler de moi.

Conseil: soyez stratégique agissez comme si vous deviez vous promener dans un marécage dans le brouillard et l’obscurité. Prenez une perche, dotez vous d’un sac à dos pas trop lourd, mais avec l’essentiel, mettez de bonnes chaussures et surtout chaque fois que vous avancez, prenez des repères. Si cela devient trop compliqué, attendez que le jour se lève en restant vigillant. Le lendemain, reajustez votre avancée dans le marécage en visualisant au loin la sortie.

4 Vous n’utilisez pas les outils de votre créativité naturelle déjà présente en vous.

Nous sommes tous dotés par nature de capacités exceptionnelles que nous n’avons plus l’habitude d’utiliser dans les routines de la vie. 

-La curiosité: merveilleux outil de découverte, d’imprévu et de joies simples.

-L’intuition: Face à la contemplation de la beauté du monde, des forces, des idées, jaillissent sans cesse, il suffit de les attraper en vol et de jouer avec.

– Lorsque nous acceptons d’être dans la sobriété, l’enchainement des analyses et des techniques paraissent pleine de bon sens. La pression égotique rend tout compliqué et rien n’avance.

– Nous disposons d’un corps physique et énergétique qui ressent, qui vibre et interagit avec le monde extérieur. C’est justement la capacité d’incarnation qui est le grand miracle de la peinture (dessin , pastel …et les arts en général). Sans cette « incarnation » l’esprit  peut rester facilement et pour longtemps hors sol dans une bulle.

Conseil: Utilisez l’art comme une interface  vous permettant de relier le monde extérieur avec votre monde intérieur.

Développez une attitude méditative qui réveille toutes ces aptitudes extraordinaires dont nous sommes tous dotés.

C’est ce que faisaient les peintres lettrés chinois quand il mettaient et mettent l’homme entre le ciel et la terre dans un souffle presque 

 

 

Bientôt sortiront plusieurs formations assez courtes de 2h30mn en moyenne. Cela permettra de répondre « à la carte » à des besoins très différents que vous avez dans votre pratique artistique à un moment précis.

1-Le dessin sous tous ses possibilités créatives (structuré, trait unique, croquis, mise en place d’idée, la trousse de secours pour la perspective « utile », etc)

2-La créativité abordée sous un angle pratique et technique.

(vaincre les blocages, le fil conducteur, l’attitude favorable, la création en cheminant, etc)

3 -La peinture  au couteau (réalisation complète d’un paysage urbain, d’un portrait de grand format. Avec 4 ou 5 petites vidéos pédagogiques pour les manipulations techniques du couteau et ses variantes combinaison avec l’acrylique, avec le travail  au pinceau et les effets de matière).

4 -La technique à l’essuyage: approfondissement de nombreuses variantes.

D’autres sont en préparation, mais  une haie à la fois.

Si vous avez de questions ou des sujets qui vous préoccupent pour que je puisse faire d’autres formations, je suis à votre écoute.

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Pour vous rappeler le contenu de cette formation en 17 vidéos cliquez sur le bouton ci-dessous ou cliquez sur la vignette pour accéder à la boutique: